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| Resident Kingdust... | |
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blackmexico
Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 23/04/2007
| Sujet: Resident Kingdust... 15.07.09 11:46 | |
| Une matinée comme les autres... Les yeux fermés sous la douche... Sentir chaque goutte s'écraser sur ma peau mate... Ne pas réflechir... Non pas maintenant...
Narwell'N... Visiblement elle a l'air préoccupée... J'espère qu'elle ira mieux prochainement.
Beaucoup de choses m'échappe aujourd'hui... Chaque jour passé m'éloigne de plus en plus de mes souvenirs... Qui suis je? Quel est mon but?
Je fais souvent ce rêve où je me retrouve seul dans une chambre mansardée, sombre et petite et lourdement meublée de bois mal vieillli. La seul lumière provient d'un oeil de boeuf misérable, à demi brisé. J'ai froid. Je me lève, péniblement; la tête me tourne encore un peu mais je me reprends peti à petit. Un courant d'air frais me fait tressaillir. Je m'approche de l'ouverture vers le jour grisaillant d'où provient plus d'air que de lumière. Une tempête épaisse de sbale ne me laisse apercevoir que les cimes de quelsques grands arbres. La vue, la pièce où je suis... Je dois apperemment me trouver dans un grenier. Cet endroit ne me rappelle rien. D'ailleurs... Une vive angoisse me saisit soudain lorsque j'essaye d'évoquer le souvenir d'un quelconque endroit où je me suis trouvé auparavant. Aucun souvenir... Le ventre noué, le coeur battant, j'essaye de me souvenir... Qui suis-je? Quel est mon nom? Non... Pas même mon nom... putin! Je respire calmement, lentement et profondément à plussieurs reprises. Les bouffées d'angoisse disparaissent tandis que ma raison reprend peu à peu le dessus. Je suis parfaitement amnésique... J'observe mon corps, je suis entier, j'ai l'air assez grand... Je tête ma tête et mon visage; j'ai les cheveux un peu trop longs à mon goût, parfaitement ébourrifés, semble t il et une barbe de quelques jours. Je parcours la pièce du regard, à la recherche d'un miroir puis, n'en trouvant pas, fouille en hâte chaque meuble. Mais ils ne contiennent que de vieillles couvertures malodorantes et quelques vêtements masculins et féminins. Qu'est-ce que je fais là? Comment suis je arrivé là?
Dehors tout est calme. J’ai une petite vue plongeante sur un vaste jardin, parfaitement entretenu. Une sorte de brume limite mon horizon à quelques dizaines de mètres. Après avoir poussé la vitre de l’œil-de-bœuf, j’écoute attentivement, guettant le moindre son provenant du dehors. Mais rien… pas un bruit… juste celui du vent, assez distant. Je dois sortir ; trouver où je suis, et ce que je fais là. Et qui je suis, même. J’ouvre la porte de la pièce mansardée et débouche dans un couloir très sombre, seulement éclairé par la lumière grisâtre provenant de la pièce où je me suis éveillé. J’écoute, une fois de plus, attentivement. Mais toujours rien. Je fais quelques pas dans le couloir. Plusieurs portes le jalonnent ; je m’arrête devant chacune d’elles, toujours cherchant un son, un bruit, qui puisse m’être familier. La demeure doit être immense ; un château ou un manoir ? J’arrive enfin au bout de ce couloir presque inquiétant et débouche sur le hall supérieur d’un gigantesque escalier en pierre. Enfin, j’entends un son : le cri presque imperceptible d’une voix aiguë, probablement celle d’une petite fille en train de jouer. Mais où suis-je donc ? C’est horrible ! Cet endroit ne m’évoque rien… Je descends quelques marches, doucement. L’escalier tournoie sur plusieurs niveaux pour arriver enfin dans un immense salon, faiblement éclairé de cette même lumière blafarde provenant du dehors et ornementé de dizaines de meubles sombres, au style lourd, décoré de vastes tapis presque étouffants, sur le sol et sur les murs. Et au moment précis où je pose le pied sur la dernière marche retentit enfin un son fort, agréable, évocateur, même : celui d’un piano. Deux mains jouent sur un piano. Le son est rond, puissant, précis. Je connais cet air. Je sais que j’aime le son du piano. Je ferme les yeux. Je suis un homme riche, estimé, j’ai de l’or au bout des doigts. Je suis vêtu d’un costume noir, impeccablement taillé. Je marche sur la scène d’un petit théâtre, sortant des coulisses et avançant jusqu’à un grand piano à queue, également noir. De tout autour de moi émanent de vifs applaudissements. Je m’avance jusqu’à mi-chemin de l’instrument et m’arrête pour saluer le public d’une maladroite révérence. Un nouveau flash. Je rouvre les yeux. Qu’était cette vision ? Était-ce moi ? Avant ? Avant quoi ? Le son du piano s’éteint doucement. Je m’avance dans le vaste salon, à la recherche de l’interprète. J’aperçois enfin l’instrument, magnifique, plus beau encore que dans ma vision. Mais personne n’y est assis. Je parcours une nouvelle fois du regard la grande pièce, cherchant qui a bien pu jouer cet air si doux et si fort. Un cliquetis de verre ; une odeur d’alcool ; des voix entremêlées. Une quinzaine de personnes sont là, devant moi, debout au beau milieu du salon. Toutes ont un verre à la main et trinquent d’un air satisfait. L’une d’elles s’approche de moi ; c’est une femme, richement vêtue. Son sourire inquisiteur en dit long sur ses intentions. Je la prends quand même dans mes bras. Encore un flash. J’ai les jambes tremblantes et la bouche sèche. J’attends, quelques minutes, cherchant toujours à me rappeler, à savoir qui je suis et ce que je fais là. Mais rien ne revient. Et toujours personne ici pour m’aider. Celui ou celle qui vient de jouer du piano s’est volatilisé. Je finis par aviser, à l’autre bout du salon, la lourde porte principale de la pièce, menant probablement à l’extérieur, dans le jardin que je dominais précédemment depuis la chambre où je me suis éveillé. Je m’avance, toujours aux aguets, puis ouvre cette porte. Tout est gris dehors ; une sorte de brume semble étouffer la campagne environnante. J’entends quand même quelques oiseaux. Je fais quelques pas sur le perron, descends trois marches menant jusqu’au jardin. L’air est frais ; il n’y a pas un souffle d’air. Je me retourne : la maison est encore plus grande que ce que j’avais imaginé, toute en vieilles pierres ; écrasante, inquiétante.Le cri d’un corbeau fend le silence. Je suis exténué, vidé de toute énergie, mais également apaisé. Je m’avance à travers l’obscurité ; je tiens la main d’une femme. Elle est jeune, elle est belle. Elle est… Je l’ai déjà vue… tout à l’heure, il y a quelques minutes, c’était déjà elle. Qui est cette femme ? Mes jambes se dérobent, j’ai perdu la tête et maintenant je suis en train de perdre la raison. Et cette brume, ce silence, m’oppressent. J’ai presque peur. Je rentre, rapidement, et rejoins le salon. Il y fait bon en comparaison. Il doit bien y avoir quelqu’un. J’ai entendu la voix d’une fillette, et puis aussi celui ou celle qui jouait du piano…
Je crie une nouvelle fois. Toujours aucune réponse. Je respire doucement, tentant de recouvrer mon calme. Je vais continuer l’exploration.
Et là tout se brouille je me réveilel toujours à ce moment... Comme si quelquechose m'empechait d'aller plus loin...
***Je coupe le robinet et me sèche, enfile mes vêtements sombres soigneusement préparés... Recouvre la totalité de mon corps de cette toge noire. J'accroche mon sabre à la ceinture****
Je trouverai une réponse dans la méditation j'en suis persuadé.
Ron sort du complexe Jedi pour aller méditer comme à son habitude espèrant trouver la paix et les réponses. | |
| | | blacklancelot
Nombre de messages : 2497 Date d'inscription : 01/11/2006
| Sujet: Re: Resident Kingdust... 15.07.09 14:15 | |
| Héhé
Un peu éloigné de ton historie originelle, mais foutrement bien écrit :afro:
Petite note au passage, il faudrait corriger certains "anachronismes" comme les "corbeaux" ou le "piano", Nam Chorios n'est aps réputée pour ses forets, mais bel et bien pour ses contrées arides aux fréquente tempetes de force.
Quelques "fleuves mer" et de gigantesques canyones, et montagnes. [RP on]
5 minutes, c'est le temsp qu'il te faut pour gravire les colones les plus hautes du temple Jedi.
Là juché a plus de 150 meres du niveau du sol, et a 50 metres du dernier niveau du temple, tu t'assois en tailleur pour reposer ton corp et tendre ton esprit vers la méditation, il te suffit pour cela de plonger ton regard dans l'imposant disque de Yavin la géante gazeuse orange durant quelques secondes.
Les images sont toujours aussi floues dans ton esprit même si le "visage" de ton ancien maitre, aussi ignoble fut 'il te reviens facilement, tu ne parviens pas a aller au dela, tu ne parviens pas a savoir d'ou tu viens.
Et quelle peuvent être tes origines. | |
| | | lugo des tours volantes
Nombre de messages : 3140 Date d'inscription : 02/11/2006
| Sujet: Re: Resident Kingdust... 17.07.09 8:44 | |
| En fait je me sentais un trip du genre resident evil aristo machin coufin. Montrer eventuellement un autre endroit qui n'est pas forcement nam corius. Enfin voilà c'était ça mon délire mais c'est vrai que ça casse l'ambiance Starwars et apres discution avec le sieur charly je pense que je vais reprendre ceci tres rapidement et le remettre à une sauce plus intergalactique ^^.
A suivre.... | |
| | | blackmexico
Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 23/04/2007
| Sujet: Re: Resident Kingdust... 17.07.09 8:45 | |
| Putin il fait chiezr charly de ne jamais se deconnecter de son compte quand il utilise mon pc. Mais quel connard ce mec!!!! | |
| | | blacklancelot
Nombre de messages : 2497 Date d'inscription : 01/11/2006
| Sujet: Re: Resident Kingdust... 17.07.09 9:53 | |
| hHuhuhu et ici pour info ya que moi qui peut éditer et effacer les messages, et je pense garder une trace de ces petites maladrasses. PAs grave en totu cas, c'est aps vampire, ya aps de forums privés ici ! | |
| | | lugo des tours volantes
Nombre de messages : 3140 Date d'inscription : 02/11/2006
| Sujet: Re: Resident Kingdust... 17.07.09 12:07 | |
| Tu devrais avoir une vision différente sur la chose Bmex, assurément, c'est là un privilége de pouvoir écrire sous le pseudo de Des Tours Volantes. Comme tant d'autres, tu rêve tant de lui plaire, de lui ressembler, tu vas même jusqu'à essayer de prendre sa place, de te l'approprier. Lugo peut comprendre cela et le pardonner aussi. Garde dans ton coeur la grace qui t'as été faîtes mais hélas, et Lugo en est fort peiné pour toi, tu n'es que Ron, le Roi Des Cendres, il faut t'y faire, tu n'auras jamais la classe, le charme, la sophistication, le bon goût, l'allure... de Lugo le septième. Et puis, tu as crée quelque chose d'unique, dont je suis sur tu garderas la trace jusqu'à la dispartion de ce forum ou bien jusqu'à ce que les étoiles s'éteignent... DTV t'autorise même à faire une copie de ce post que tu pourras conserver sur le support électronique le plus idéal et digne de l'honneur accordé! | |
| | | blackmexico
Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 23/04/2007
| Sujet: Re: Resident Kingdust... 17.07.09 13:08 | |
| :::::vomi::::: | |
| | | blacklancelot
Nombre de messages : 2497 Date d'inscription : 01/11/2006
| Sujet: Re: Resident Kingdust... 17.07.09 13:21 | |
| Charly c'est pas très gentil de poluer la section de ton camarade, surtout que là ça va rester hein... Oui pour ceux qui n'auraient pas vu, je suis resté le seul modo, je vous ais tous groupés sous les "gardien du temple" en vous conférant les droits d'édition et de suppression partout ailleurs que sur le forum RP, d'une part pour qu'il n'y est pas de pb avec l'édition des messages qui peuvent réinitialiser un jet de dé, mais aussi car Charly qui n'hesite pas a faire du gros nétoyage ne poura plus le faire ici, c'est mon territoire a moi J'ai même bien envie de restreindre vos droits sur le forum de "la chambre des chevaliers" (ce que tu m'as demandé ce matin Charly), et puis au final je me dis que c'est pàas la peine et que vous serez respectueux les un envers les autres. | |
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| Sujet: Re: Resident Kingdust... | |
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| | | | Resident Kingdust... | |
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